Yanowski & Hugues Borsarello

YANOWSKI

Poète, chanteur, conteur, parolier, compositeur

Mis au piano classique à l’âge de six ans, il se passionne très tôt pour la poésie, l’aventure, la boxe. Sa rencontre avec le pianiste Fred Parker est déterminante. En l’an 2000, ils fondent Le Cirque des Mirages, un duo de cabaret expressionniste aussi violent que poétique et provocateur. S’en suit la création de plusieurs spectacles, de nombreuses scènes parisiennes (Café de la Danse, Cigale, Européen, Trianon), festivals (Printemps de Bourges, Festival de Marne, Chorus des hautes scènes…), albums (En Public, Fumée d’Opium) et Dvd (au Trianon). Plus de mille concerts en 12 ans.

Poète, il publie Crimes d’orties blanches en 2010, une antologie de ses textes aux éditions Le Dilettante.
Chanteur, il se perfectionne au près de nombreux professeurs de lyrique (Jean-François Vauquelin, Lionel Sarrazin).
Conteur, il interprète l’une de ses nouvelles fantastiques au festival d’Avignon 2012 (Les contes du Mirage), ainsi qu’un un conte pédagogique destiné aux enfants au côté de l’Orchestre National de France au Cirque d’Hiver.
Parolier, il prépare actuellement un nouvel album du Cirque des Mirages aux accents rock-jazz.
Compositeur, il travaille aujourd’hui à un album solo pour orchestre symphonique (arrangement Richard Dubugnon). Un de ces grands poèmes lyrique (Elégie de l’amour obscur) est mis en musique pour quatuor à cordes par Guillaume Connesson lors du Festival de la Meije.

HUGUES BORSARELLO

Violoniste

Hugues Borsarello n’est pas seulement né dans la musique, de parents musiciens, on peut dire de lui qu’il est né à la musique, qu’elle l’habite depuis bien avant sa naissance, qu’elle l’a construit et façonné. Il joue ainsi la partition de sa vie sans la moindre hésitation, comme une évidence et toujours en mode Majeur. Il n’a pas choisi le violon, c’est l’instrument qui s’est imposé à lui. Un beau début…

Soliste passionné, Hugues Borsarello transmet au public, avec une émotion sincère et profonde le plaisir qu’il tire de la partition et de ses infimes et multiples facettes, comme autant de clins d’oeil au compositeur. Le temps d’un concert, il ouvre à nos sens le monde mystérieux de la musique, façonnant tout naturellement les notes écrites en matière sonore.

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